A Banda Aceh, sur la pointe nord de l’île de Sumatra, deux chrétiens, faussement accusés d’avoir baptisé une musulmane, ont été frappés et emprisonnés

Le 30 mai 2012, Roy Tyson Kalbulan et Ribur Manulang ont été battus par la foule, puis arrêtés par la police dépêchée sur place. Ils sont accusés d’avoir baptisé Miriam, une musulmane, alors qu’ils n’ont fait que répondre aux questions qu’elle posait.

« J’ai fait la connaissance de Miriam une semaine avant l’attaque. Elle posait des questions sur Jésus et le baptême, alors j’ai parlé de ma foi avec elle » raconte Roy.

Ribur, quant à elle, arrivait d’un autre village quand elle a vu Roy se faire agresser. Quelqu’un l’ayant reconnue comme étant une amie de Roy, elle a été passée à tabac également.

« Nous nous sentons bénis »

Aujourd’hui emprisonnés injustement, leur foi est toujours intacte. « Nous nous sentons bénis de pouvoir partager les souffrances de Jésus. Quand la foule me frappait, je pensais au Seigneur Jésus qui avait enduré la même chose » raconte Ribur depuis sa cellule.

« Nos assaillants se moquaient de nous et nous disaient d’appeler Isa (Jésus) à l’aide, pour voir s’il interviendrait. Et nous, en prière, nous les bénissions et nous priions pour eux » ajoute-t-elle.

« Plutôt mourir que de renier »

Les deux chrétiens ont pu également profiter du moment où ils ont été interrogés par la police, pour parler de leur foi. En prison, Roy et Ribur, continuent à témoigner à leurs codétenus. « Je leur ai dit que je préfèrerais mourir plutôt que de renier Jésus. Ils m’ont vu prier et entendu chanter des cantiques et cela leur a donné envie d’en apprendre plus sur Jésus » conclut Roy.

Photo : Roy Tyson Kalbulan ( à gauche) et Ribur Manulang

Sujets de prière :

• Remercions Dieu pour le témoignage de Roy et de Ribur,
• Prions pour qu’ils soient fortifiés et puissent continuer leur ministère à Sumatra,
• Prions pour Miriam, afin que sa soif de Dieu soit étanchée.

Cette  histoire authentique

GRANDE ROUE

En Septembre 1960, je me retrouvai seule avec 6 enfants affamés et seulement 75 sous en poches. Les 5 garçons avaient entre 3 mois et 7 ans; leur sœur avait 2 ans. Mon mari était parti. Chacun d’eux craignait sans cesse la présence de leur père. À chaque fois qu’ils entendaient le son des pneus de la  voiture au contact du gravier de l’entrée, ils se précipitaient pour aller se cacher sous leurs lits. Il s’arrangeait pour laisser 15 $ par semainepour  l’épicerie il buvait le reste.

Après son départ, les enfants ne seraient plus battus mais il fallait trouver un moyen pour les nourrir et les vêtir. S’il y avait un système d’aide sociale en force dans le sud de l’Indiana à cette époque, je n’en savais absolument rien. Un jour, j’enfilai la plus belle robe que j’avais moi-même confectionnée, donnai un bain aux enfants et les montai à bord de la vieille Chevrolet 51 toute rouillée pour aller à la quête d’un emploi. Tous ensembles nous fîmes la tournée d’usines, magasins et restaurants de notre petite localité. Les enfants restèrent calmement dans la voiture pendant que j’essayais de convaincre un employeur que j’étais prête à apprendre et à faire n’importe quoi. Il me fallait un emploi à tout prix. Le dernier endroit que j’ai visité, à quelques milles hors de notre ville, était un arrêt de camionneur. Il portait le nom de ‘LA GRANDE ROUE. ‘ Une vieille dame nommée Granny, propriétaire de la place, écoutait ma requête tout en jetant de temps en temps un coup d’œil sur les enfants dans l’auto. Elle me répondit qu’elle avait besoin d’une personne pour le quart de nuit, de 11 heures à 7heures. À 65 sous de l’heure, je pouvais commencer le soir même. Je lui dis de ne plus chercher. Je retournai rapidement à la maison. J’appelai l’adolescente qui gardait les enfants des gens des environs. Je m’entendis avec elle pour qu’elle passe la nuit chez moi, qu’elle dorme sur le divan à raison d’un dollar par soir. Après une courte discussion, elle accepta. Elle pouvait arriver en pyjama puisque les enfants seraient déjà au lit.

Ce soir-là moi et mes enfants remerciâmes Dieu de m’avoir aidée à trouver du travail. Après l’arrivée de la gardienne, je partis pour commencer à travailler à LA GRANDE ROUE. Le matin venu, je retournai à la maison, éveilla la gardienne pour qu’elle retourne chez elle avec un dollar puisé à même mes pourboires, soit la moitié de ce que je recevais chaque soir. Après quelques semaines, les factures de chauffage diminuèrent mes faibles gages. Puis, les pneus usés de la vieille Chevrolet commencèrent à se dégonfler régulièrement. Je devais les souffler en allant au travail et en retournant à la maison. Un matin d’automne, je fus surprise de trouver 4 pneus neuf sur la banquette arrière. Je me posai la question : Est-ce que des anges s’étaient installés en Indiana??? Sur ma route de retour je m’entendis avec le garagiste. En échange de l’installation des pneus, je m’engageai à faire un bon ménage de son bureau. Notez que ça m’a pris beaucoup plus de temps à brosser son plancher que la période nécessaire pour la pose des pneus. Je travaillais maintenant 6 soirs mais c’était toujours insuffisant..Noël approchait et je savais qu’il n’y aura pas d’argent pour acheter des jouets aux enfants. Je trouvai un vieux gallon de peinture rouge et commençai à réparer et peindre de vieux jouets. Je les cachais au sous-sol afin que le Père Noël puisse livrer quelque chose le matin de Noël. Les vêtements étaient un autre problème. Je parvenais à faire de multiples réparations sur les pantalons des garçons mais fallait se rendre à l’évidence que l’on ne pouvait plus rien faire tellement ils étaient usés. La veille de Noël, les clients réguliers, soit les camionneurs, LEE, FRANK, JIM et un patrouilleur du nom de JOE buvaient du café.  Quelques musiciens, après un contrat à la Légion, jouaient à la machine à boule. JOE et les autres jasèrent jusqu’aux petites heures et partirent avant le lever du soleil. Lorsque vint le temps pour moi de partir, à 7 heures, le matin de Noël, je fus à nouveau surprise de voir la banquette arrière de ma vieille Chevrolet bourrée de boîtes de toutes les dimensions. Je m’empressai d’ouvrir la portière du conducteur, je m’agenouillai sur le siège en faisant face au siège arrière.

J’allongeai la main pour retirer le couvercle de la grosse boîte pour constater qu’elle était remplie de JEANS bleus de grandeur entre 2 et 10. Je pris la boîte tout près pour constater qu’elle était remplie de chemises qui accompagnaient les JEANS.Je jetai un coup d’œil à l’intérieur des autres boîtes pour constater qu’il y avait des bonbons, cacahouètes, bananes et des sacs d’épiceries. I l y avait un énorme JAMBON avec des légumes et des patates en boîtes. Il y avait du pudding, du Jell-O, des biscuits, de la farine et des garnitures pour tartes. Il y avait un autre sac plein d’articles pour le LAVAGE et le nettoyage. Et finalement sur l’autre siège, 5 camions et une jolie poupée. Après avoir repris mes esprits je m’empressai de me mettre en route vers la maison. En sillonnant les rues désertes au lever du soleil du plus beau matin de Noël de ma vie, je ne pouvais m’empêcher de sangloter en remerciant Dieu . Je n’oublierai jamais la joie sur les visages de mes enfants ce matin-là. Oui, je suis certaine qu’il y avait des anges en Indiana ce décembre-là. Et ils fréquentaient LA GRANDE ROUE.

Dieu donne 3 réponses à nos prières: 1- OUI 2- PAS TOUT DE SUITE 3- J’AI QUELQUE CHOSE DE MIEUX EN TÊTE POUR TOI.

PRIONS:

Seigneur, bénis, ceux qui qui ne t’aime pas et qui me persécutent, sauve-les de la prison de leur ignorance, de leur volonté corrompue et de leur cœur enténébré. Tu as vaincu le mal, le péché et la mort. Fortifie ma foi, afin que je puisse Te rendre gloire et briller de ta lumière dans un monde de ténèbres. Seigneur Jésus Christ, rends-moi la joie d’être sauvé, malgré l’opposition des ennemis de m’a foi, et protège-moi du péché. AMEN. Au nom de Jésus.

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Témoignage.....

Prouves moi que tu es Dieu!!!!!!!!

Tu dois naitre de nouveau.....

• Publié par Solange le 12 Mars 2012 à 18 30
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Je suis née dans une famille chrétienne, depuis mon enfance, j'ai entendu parler de Jésus-Christ, de l'amour de Dieu etc. Mon père m'avait souvent répété qu'on ne naît pas chrétien en ayant des parents chrétiens mais que c'est un choix personnel. J'allais à l'église avec mes parents, je priais, je lisais la Bible.

Mais je me posais souvent une question, est-ce que si mes parents avaient été hindous ou bouddhistes, ou musulmans, je serai aussi  hindoue ou bouddhiste, ou musulmane ou bien aurais-je été chrétienne ?

 Je connaissais le message de l'évangile, mais pas celui des autres religions,  je savais que la Bible disait que : « Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle ». Mais est-ce que la bible et son message étaient bien la parole de Dieu ?

Craignant de tout cœur que où que je sois née j'aurais suivi le choix de mes parents, je pris la décision d'affronter réellement ma question en priant Dieu de la façon suivante : « Prouve moi que tu es Dieu. Si tu le fais, je te consacrerai ma vie, sinon, je dirai que tu n'existe pas chez les chrétiens et j'irai chercher ailleurs, jusqu'à ce que je te trouve. Je veux une réponse de ta part, si tu es Dieu, viens, apparais moi dans ma chambre, tu as 10 min. ».

Et puis j'ai attendu 10 min mais en vain, rien ne s'est passé. Le temps écoulé, je me suis souvenue de ce que disait mon grand-père : « Dieu se révèle au travers de la Bible », alors à la fin des dix minutes, j'ai dit : « Dieu je te laisse une dernière chance, Grand Papa m'a dit que tu te révèle par le Bible montre le moi maintenant. »

 Et puis j'ai ouvert ma Bible au hasard, et j'ai lu un passage que je n'avais jamais lu auparavant dans le livre d'Esaïe au chapitre 43 : Ainsi parle maintenant l'Éternel, qui t'a créé, ô Jacob! Celui qui t'a formé, ô Israël! Ne crains rien, car je te rachète, Je t'appelle par ton nom: tu es à moi! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas.

Car je suis l'Éternel, ton Dieu, Le Saint d'Israël, ton sauveur; Je donne l'Égypte pour ta rançon, L'Éthiopie et Saba à ta place. Parce que tu as du prix à mes yeux, Parce que tu es honoré et que je t'aime, Je donne des hommes à ta place, Et des peuples pour ta vie (...)Vous êtes mes témoins, dit l'Éternel, Vous, et mon serviteur que j'ai choisi, Afin que vous le sachiez, Que vous me croyiez et compreniez que c'est moi: Avant moi il n'a point été formé de Dieu, Et après moi il n'y en aura point. C'est moi, moi qui suis l'Éternel, Et hors moi il n'y a point de sauveur. C'est moi qui ai annoncé, sauvé, prédit, Ce n'est point parmi vous un dieu étranger; Vous êtes mes témoins, dit l'Éternel, C'est moi qui suis Dieu. Je le suis dès le commencement, Et nul ne délivre de ma main; J'agirai: qui s'y opposera? ».

 Cette lecture m'a terrassée, le « maintenant » de la première phrase m'a fait l'effet d'un coup de point sur la table. Je voulais, j'exigeai une réponse maintenant et Dieu répondait en employant le même mot, je voulais savoir qui était Dieu Il me disait :

« Je suis l'Eternel ton Dieu... avant moi il n'a pas été formé de Dieu et après moi il n'y en aura pas... c'est moi, moi qui suis Dieu... » Et puis il me confirmait la bonne nouvelle dont j'avais entendu parler : « Je te rachète... tu es à moi ... je suis ton sauveur... je t'aime .... Vous êtes mes témoins ... hors de moi il n'y a point de sauveur... ».

Devant cette réponse j'ai eu le sentiment incroyablement surprenant d'avoir été entendue au plus profond de mon être, j'ai été retournée. J'ai pleuré d'avoir été touchée aussi « juste » et je me suis agenouillée devant Dieu.

Aujourd'hui je lui dis encore merci, non seulement, il m'a répondu mais il l’a fait au travers d'un texte. Et quand dans la suite de ma vie, j'ai croisé des situations d'une douleur extrême, je suis retournée au texte et il était toujours le même grâce aux mots, écrits noir sur blanc, et là je sais que je n'ai pas rêvé. Ce texte pour moi, ce fut comme une lettre d'amour de Dieu pour moi.

CHERS FRERES ET SOEURS

Le Seigneur parle tantôt d'une façon , tantôt d'une autre, ,mais pas toujours comme nous le voulons, a nous

de savoir l'écouter, comme là fait cette jeune femme...Quand on le cherche IL se laisse trouver...

Que Dieu vous bénisse .affectueusement

Solange.

UNE TRES BELLE LOUANGE  a voir "Le fruit de l’Esprit"

CLIQUEZ SUR LE LIEN http://jcedm.wordpress.com/2012/03/12/le-fruit-de-lesprit/