« DIEU parle toujour ».
Retenir son Nom c’est garder dans son cœur et c’est confesser de sa bouche tout ce que le Seigneur fait pour moi et peut-être pour les autres. Ne pas renier sa foi c’est demeurer attaché aux principes élémentaires aux enseignements de la Parole. Là encore c’est un des signes des derniers temps que Jésus a dénoncé. «Quand je reviendrai où trouverai-je la foi sur la terre ? »
Même question que tout à l’heure par rapport à la dette de l’amour, à qui Jésus s’adresse t-Il ? Qui détient la foi ? Ce sont ses enfants ? Trouverai-je la foi en Moi quand je reviendrai? C’est une parole qui m’a toujours frappée. L’Eglise sera-t-elle toujours conquérante ? Ou aura-t-elle renié certains principes de la Parole de Dieu et ainsi la foi sera limitée ?
Alors on imagine sans peine les luttes spirituelles de l’Eglise de Pergame et la nécessité de prendre les armes de Dieu et particulièrement celle qui a la spécificité d’attaquer et de défendre à la fois : c’est l’épée à double tranchant que l’apôtre Paul développe dans Ephésiens ch. 6, et dont le Seigneur s’est présenté à l’Eglise comme tel : Je suis Celui qui a l’épée à double tranchant c’est-à-dire, celle qui attaque et celle qui défend. Cela signifie garder la foi ? Et l’épée c’est la Parole de Dieu.
Mais, comme à Ephèse, il y a quelque chose qui ne va pas. J’ai quelque chose contre toi, c’est que tu as chez toi, des gens attachés à la doctrine de Balaam qui incitait à Balak à mettre une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël v. 14. Nous avons ici affaire à un cas où Jésus fait allusion à un personnage connu de l’ancienne alliance et pour comprendre ce que peut être cette doctrine de Balaam, dénoncée comme telle, il faut remonter très loin dans ce passé du peuple Hébreu au moment où ils sont en train de traverser le désert et d’arriver en terre promise. Et avant d’arriver dans la terre promise depuis le désert il y avait un pays à traverser c’était le pays de Moab. Et ce roi de Moab refuse de faire passer les Israélites dans son pays prétextant que cette multitude, va dévorer tout ce qui est sur son passage comme le bœuf broute l’herbe, ils vont nous piller, il ne restera rien. Pas question qu’ils passent par le pays et qu’on les nourrisse. Et pour être convaincus, et surs qu’ils ne vont pas passer, ils font venir un prophète qu’ils connaissaient, qui s’appelle Balaam, pour que ce prophète maudisse ce peuple afin qu’il reparte dans le désert. Il avait entendu, Barak, le roi de Moab, tout ce que Dieu avait fait pour son peuple en Egypte et à sa sortie, et il avait peur et c’est pour cela qu’il veut maudire ce peuple.
Balaam reçoit donc des émissaires du roi et il refuse une première fois pour aller maudire ce peuple et puis c’est l’apôtre Pierre qui nous l’apprend dans son épitre, moyennant finance Balaam va accepter cette mission. Mais il reçoit de la part de Dieu cette parole : « tu diras ce que Moi je te dirai, mais vas-y puisqu’ils insistent et puisque tu t’es laissé un peu fourvoyer ». Dieu sait tout. Alors Balaam se trouve face au peuple d’Israël, il monte sur une colline, sur une montagne pour apercevoir de loin, ce peuple qui attendait l’autorisation de traverser le pays et le roi Balak lui dit : « maudis ce peuple » et voilà que Balaam le bénit en bonne et due forme de la part de Dieu ; alors le roi lui dit : je ne t’ai pas payé pour cela, je ne t’ai pas fais venir pour cela, je t’ai dit : maudis, maudis ce peuple, et Balaam a nouveau prend la parole et bénit ce peuple et dit : «je ne peux pas le maudire Dieu m’ordonne de bénir ce peuple », donc il ne fait que bénir. Et ce qui est étonnant c’est que le problème ne va pas venir du roi lui-même mais du prophète lui-même qui voyant le désarroi de ce roi Balak, roi de Moab, va lui proposer une recette, qui est plus judicieuse, qui va devenir « la doctrine de Balaam ». Il lui dit : tu sais, si on ne peut pas maudire le peuple de l’extérieur, Dieu m’impose de le bénir, et bien il nous faut faire en sorte que ce soit Dieu lui-même qui maudisse le peuple.
Pour ce faire, il faut que tu places le peuple dans une situation où il sera considéré comme une malédiction vis à vis de Dieu. Qu’est-ce qu’ils vont faire ? Ils vont faire descendre dans le camp des Israélites des filles de Moab. Ah les femmes ! Et les filles de Moab vont attirer les jeunes garçons d’Israël qui vont les prendre pour femmes ; or il y avait une loi qui interdisait, Moïse l’avait écrite également : «tu ne prendras pas pour mon peuple des femmes des pays étrangers… et ils se marièrent, donc cela dure un petit peu, ils restent là quelque temps ce n’est pas l’affaire de quelques jours, c’est peut-être plusieurs mois, voire une ou deux années, c’est très long… Ils se marient, et la malédiction de Dieu tombe, directement du ciel, sur eux. Moïse dit dans le livre des nombres : « avez-vous laissée la vie aux femmes ? Voici ce sont-elles qui sur la parole de Balaam ont entraîné les enfants d’Israël à l’infidélité envers le Dieu d’Israël ». Et Moïse ordonne que toutes ces femmes soient rejetées, soient renvoyées à Moab. C’est quelque chose de difficile.
« DIEU parle toujour »
C’est pourquoi le Seigneur dit : « souviens-toi d’où tu es tombé ! Repens-toi et pratique tes premièresœuvres ». Vous voyez que cette perte d’amour est quelque chose qui nous étonne, en ce sens que c’est un péché aux yeux de Dieu puisque Dieu dit : repens-toi, c’est qu’il y a péché. C’est un péché rarement confessé par le croyant qui est autant moins conscient de l’avoir commis qu’il va se montrer actif dans l’église et il se dira : non ce n’est pas péché même si j’aime moins le Seigneur, j’agis pour Lui. Pour Dieu c’est d’abord l’amour qui est important, l’amour que nous avons pour Lui, du temps pour Lui, mais pas du temps pour du temps, du temps où le Seigneur va me donner ce dont j’ai besoin… Alors on ne voit pas beaucoup de fruits et on a l’impression d’avoir travaillé en vain. On fait beaucoup de bruit mais finalement ce bruit, ce n’est pas comme cela que le Seigneur nous veut. C’est d’ailleurs un des signes de la fin des temps, quand Jésus reviendra (Matthieu 24 v. 12) « L’amour des croyants se refroidira ». C’est une parole difficile… Est-ce que c’est l’amour du monde pour les gens entre eux, un égoïsme accru. Ou bien Jésus s’adresse-t-il directement à son Eglise, donc à ses disciples ? Faites attention mes frères et sœurs, un des signes, juste avant le retour, sera cet abandon de Mon amour. Il faut réfléchir à ça. Que l’Esprit nous sonde personnellement pour cela.
La deuxième Eglise c’est Pergame (relisez chez vous toutes ces lettres) Pergame = idolâtrie
Verset 12 du chapitre 2 : « Ecris à l’ange de l’Eglise de Pergame : voici ce que dit celui qui a l’épée aigue, à deux tranchants : «Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n’as pas renié ma foi, même aux jours d’Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, où Satan a sa demeure. Mais j’ai quelque chose contre toi, c’est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël, pour qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles et qu’ils se livrent à la débauche. De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes. Repens-toi donc ; sinon, je viendrai à toi bientôt, et je les combattrai avec l’épée. Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises »…
Comme dans beaucoup de villes de la région l’idolâtrie à fait son œuvre. Donc on entend les paroles de Jésus au début de la lettre je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Il y a dans la ville des choses abominables et je le sais, on peut presque dire aussi que dans beaucoup de villes en France il y a aussi des mauvaises choses, mais ce qui est encourageant c’est que Dieu sait où nous sommes placés et selon la position de l’Eglise locale nous avons une mission particulière en fonction du contexte.
« DIEU parle toujour »
Gildas Opedjre Et quoiqu'il fût Fils, il a appris l'obéissance Hé.5:8
Lorsque nous considérons le Seigneur Jésus Christ dans les Ecritures, nous y voyons la voie excellente. Et dans ce chemin qu'Il a tracé au prix de larmes et de grandes souffrance, Il nous invite à Le suivre dans un sentier d'obéissance et de sainteté. Impossible! diront plusieurs. Certes, il est effectivement impossible à l'homme naturel de s'engager sur un tel chemin et d'y rester par l'énergie de sa propre volonté qui n'est en fait qu'illusoire.
Et quoiqu'il fût Fils, il a appris l'obéissance Hé.5:8
Lorsque nous considérons le Seigneur Jésus Christ dans les Ecritures, nous y voyons la voie excellente. Et dans ce chemin qu'Il a tracé au prix de larmes et de grandes souffrance, Il nous invite à Le suivre dans un sentier d'obéissance et de sainteté.
Impossible! Diront plusieurs. Certes, il est effectivement impossible à l'homme naturel de s'engager sur un tel chemin et d'y rester par l'énergie de sa propre volonté qui n'est en fait qu'illusoire.
Mais si le Christ Jésus est notre Sauveur, notre Seigneur, notre divin Modèle, et s'Il nous invite à Le suivre c'est qu'Il nous donne les ressources nécessaires pour une telle marche qui glorifie Dieu.
Nous sommes appelés à êtres des imitateurs de Dieu (Ephésiens 5:1), de son Fils bien-aimé (1 Thessaloniciens 1:6) venu pour faire de ses créatures perdues des adorateurs en esprit et en vérité, mais également des serviteurs et servantes obéissants du grand Dieu Sauveur. L'apôtre Paul, un homme aux mêmes passions que nous, nous exhorte par l'Esprit à être ses imitateurs comme lui l'est de son divin Maître (1 Corinthiens 4:16; 11:1). C'est bien à nous que Dieu s'adresse à travers son serviteur. Et l'excuse que nous n'arrivons pas à la hauteur de l'apôtre Paul est une fuite, une paresse, une désobéissance à ce que notre Père nous destine.
Dieu ne nous a pas seulement accordé son pardon en son Fils, mais bien plus Il nous a justifiés en Lui, rendus agréables dans le Bien-aimé, destinés à la gloire éternelle, et en chemin appelés à manifester que nous sommes bien ses enfants, et que comme tels nous avons à être saints comme Lui est saint, à marcher d'une manière digne de l'appel dont Il nous appelés.
Mettrions-nous en doute la Parole de Dieu lorsqu'Il nous dit que cela est non seulement possible mais également requis pour le glorifier en tous temps ?
Dieu ne nous demande pas une chose sans nous donner la possibilité de l'agréer. Ainsi donc, Il nous donne de le glorifier en son Fils, en demeurant dans le Christ Jésus.
Entre parenthèses, nous pouvons dire que si la loi a été un conducteur qui ne donnait pas les ressources pour plaire à Dieu en ce qu'elle exigeait l'obéissance de la nature en Adam, vivre et marcher selon la grâce est tout aussi impossible pour cette nature corrompue. En effet, la grâce n'est en rien moins exigeante que la loi, contrairement à ce que beaucoup croient. Nous pouvons même dire qu'elle va plus loin que la loi mosaïque ; là où celle-ci s'arrêtait aux actes, la grâce va jusqu'aux motifs, jusqu'aux profondeurs de l'âme. Et Jésus n'est pas venu amoindrir les exigences de Dieu. Au contraire, Il est descendu jusqu'à la mort de la croix pour les satisfaire.
« Tu ne tueras point », dit la loi.
« Quiconque hait son frère est un meurtrier », dit la grâce.
« Tu ne commettras point adultère », dit la loi.
« Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur », dit la grâce.
« Tu ne déroberas point », dit la loi.
« Celui qui a les biens de ce monde, et qui voit son frère dans le besoin, et qui lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? », dit la grâce.
Pour conclure, nous devons reconnaître qu'il est tout aussi impossible à la chair de vivre sous la grâce et de plaire à Dieu. Il faut impérativement cette nouvelle nature en Christ régénérée journellement par la Parole de Dieu appliquée à nos coeurs par l'Esprit Saint.
Nés de Dieu, si du moins nous nous sommes repentis et avons reçu le Christ Jésus pour Sauveur, nous sommes élus selon la préconnaissance de Dieu le Père, en sainteté de l'Esprit, pour l'obéissance et l'aspersion du sang de Jésus Christ (1 Pierre 1:2).
Et l'obéissance à Dieu n'est possible que si nous sommes réellement en Jésus et de Lui. Alors l'Esprit aura versé en nous l'amour divin que le Fils est venu révéler et manifester pleinement. Cet amour du Père, du Fils et du Saint Esprit, n'améliore pas notre vielle nature corrompue que nous avons à maintenir dans la mort, crucifiée avec Christ, mais il prend sa liberté d'action dans la nouvelle nature reçue de Dieu. Et ce n'est que dans cette nouvelle création que l'obéissance à Dieu et pour Lui est rendue possible, là où l'amour implique inévitablement celle-ci.
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, car la semence de Dieu demeure en Lui, et il ne peut pas pécher parce qu'il est né de Dieu. (1 Jean 3:9)
Quiconque garde sa parole, - en lui l'amour de Dieu est véritablement consommé. (1 Jean 2:5)
Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu … c'est ici l'amour de Dieu, que nous gardions ses commandements, et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu est victorieux du monde … Qui est celui qui est victorieux du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? (1 Jean 5:1-5)
En notre Sauveur et en Lui seul, nous sommes introduits dans la sphère bénie de l'amour de Dieu où nous pouvons nous y mouvoir, sans toutefois mesurer son infinie grandeur, afin d'entrer dans le cercle de l'obéissance qui plaît à Dieu et l'honore.
Et qui d'autre que le Fils de Dieu peut et désire nous introduire dans le domaine de l'obéissance? Il nous en a frayé l'accès en ce qu'Il a Lui-même souffert, manifestant dans ce domaine toute la perfection de son Être.
Ainsi bien qu'Il fût Fils, il a dû apprendre l'obéissance, durant les jours de sa chair, par les choses qu'Il a souffertes (Hébreux 5:8-10). Avant même de prendre de la main de son Père la « coupe » en Gethsémané, Il pouvait déclarer en Jean 17 qu'Il avait glorifié le Père et achevé l'oeuvre qu'Il lui avait donnée à accomplir.
Sa parfaite obéissance s'exprime par les mots suivants :
« Il commença à être saisi d'effroi et fort angoissé. Et il leur dit : Mon âme est saisie de tristesse jusqu'à la mort ; demeurez ici et veillez. Et s'en allant un peu plus avant, il se jeta contre terre, et il priait que, s'il était possible, l'heure passât loin de lui. Et il disait : Abba Père, toutes choses te sont possibles; fais passer cette coupe loin de moi; toutefois non pas ce que je veux moi, mais ce que tu veux toi. » (Marc 14:33-36)
Qui pourra comprendre et exprimer par des mots la mesure parfaite de l'obéissance de notre Sauveur et Seigneur ?
Le Père est glorifié, et Il glorifie son Fils qui est descendu si bas avant de remonter si haut, couronné de gloires nouvelles; celles du Fils de l'homme parfaitement obéissant, de l'Homme Christ Jésus ressuscité.
Et c'est ce divin Modèle qui est maintenant placé devant nos coeurs étreints par un tel amour. Il a souffert pour nous sauver et nous laisser un Modèle, le parfait Exemple.
Appelés à obéir à Dieu, nous ne pouvons le faire qu'en notre Sauveur. Et si hélas! notre nature pécheresse vient parfois encore souiller notre vie et nous dévier dans notre marche à sa suite, Il est aussi cet avocat qui plaide pour nous et qui nous accorde le pardon de nos offenses et la communion avec Dieu en ce qu'Il a fait et fait la propitiation pour tous nos péchés, pour tous les péchés (1 Jean 2:1-2).
Nous avons aucune excuse pour ne pas marcher dans l'obéissance. Si nous sommes réellement dans l'amour de Dieu, ses commandements ne sont pas pénibles. Et la fidélité à ces derniers reflète la réalité de l'amour que Dieu verse en chacun de ses enfants afin que tous manifestent Christ dans leur vie.
Que dirons-nous à ces choses pour nous y soustraire?
Obéissons et nous prouverons que nous connaissons Dieu et que nous vivons dans son amour.
Obéir c'est écouter Dieu
Obéir c'est croire Dieu
Obéir c'est garder la Parole de Dieu
Obéir c'est ne rien faire sans consulter Dieu
Obéir c'est attendre le signal de Dieu
Obéir c'est agir selon Dieu
Obéir c'est aimer comme Dieu aime
Obéir c'est pardonner comme Dieu pardonne
Obéir c'est me mettre en-dessous et au service des autres
comme Christ en donne le divin Exemple
Obéir c'est témoigner ouvertement de la grâce de Dieu
Obéir c'est me souvenir de l'oeuvre de Christ dans
le mémorial qu'il a institué jusqu'à son retour
Obéir c'est recevoir, être béni de Dieu
Obéir c'est porter du fruit qui demeure à la gloire de Dieu
Obéir c'est manifester Christ dans ma vie.
Témoignage de Hecto:
Le Sei.gneur m'a délivré de ma manière forte et autoritaire..
Aujourd'hui le 6 novembre 2010, je vous donne juste un petit témoignage pour expliquer la compassion de
D.ieu envers moi et Lui donne toute la gloire.
Le Sei.gneur est plein d'Amour et de compassion envers chacun de nous, combien de fois j'ai crié au Sei.gneur de changer ma manière de parler aux gens qui travaillent ici avec moi, car je ne suis
pas leur employeur.
J'avais tellement l'habitude de donner mes recommandations à mes employés qui étaient à ma disposition lorsque mon mari et moi avions à gérer nos 4 commerces, que je ne m'en rendais pas compte
que je continuais encore à agir ainsi avec les employés d'ici et après y avoir reconnue que je ne parlais pas avec douceur avec ceux qui m'aidaient ici. je criais vers le D.ieu de la Bible
de m'aider.
Oui beaucoup de personnes refusaient souvent de me donner ce que j'avais besoin à cause de mon attitude autoritaire, et souvent elles me reprenaient en me disant dit S.V.P et là j'y pensais à ce
moment là, mais je ne m'en apercevais pas du tout que je parlais comme cela.
Je me posais la question pourquoi les employés d'ici me rejetaient comme cela, et là je demandais à D.ieu de m'enlever cette attitude de demander quelques choses de la mauvaise manière, je
souffrais beaucoup de cet attitude autoritaire et là je criais encore au Sei.gneur de changer ma manière de parler avec autorité.
Alors le Sei.gneur a écouté ma prière et a fait comme une petite opération dans ma gorge et le son de ma voix a changée, elle sort plus douce et mon parler est moin arrogant. gloire à D.ieu pour
cette intervention.
Quel changement que cela a fait dans mon entourage, parfois c'est pas grand chose que D.ieu fait, mais Il fait tout parfaitement en douceur et je ne l'ai pas réalisée tout de suite, mais je
sentais bien que ma voix était un peut éteinte, et la je me dé-rhumais un peut en pensant que c'était juste un petit mal de gorge qui se préparait, mais non cela était le changement que D.ieu
avait fait.e
C'est beaucoup mieux comme cela et cela dure déjà plusieurs semaines et je me sens toujours bien dans ce
changement, alors je remercie encore Notre D.ieu pour ce changement.
C'est merveilleux mes ennemis se sont misent à m'aimer comme je suis et la Paix est revenue entre elles et moi et j'ai demander pardon à chacune d'elles et c'est merveilleux comme ça, elles ont
tous acceptés ma demande de pardon et la paix règne en chacune de ses personnes et moi maintenant, et la vie est plus normal ici avec moi, amen !
Je remercie le Sei.gneur, de m'avoir délivré de ce problème ou je ne pouvais rien faire sans
Son intervention. AMEN !!!!!!!
http://www.youtube.com/watch?v=luIp87XgIxg&feature=player_embedded#!
et les autres nouveautés du site :
http://www.enseignemoi.com/nouveautes/?page=1
Olivier Moulin
Joel Spinks
Mohammed Sanogo
Jésus continua de s'adresser à moi:
" La répartition est trés mal faite.quand je reviendrai,cela n'existera plus.
La répartition sera plus équitable.Maintenant que tu as vu tout cela,regarde le bien car tu ne le verras plus.Puisque tu dois t'occuper de tes deux enfants qui ont besoin de toi,retourne sur la terre.Tu seras mon témoin.Dis tout ce que u as vu.
Voici un beau témoignage :
Par Saed Awwad – Aout 2010
Saed Awwad est un membre de l’Équipe Xtreme, des groupes de 12 globe-trotters « d’hommes » chrétiens qui plient des barres métalliques, déchirent des annuaires téléphoniques et qui brisent des tas de briques à mains nues.Leur force brute leur donne accès aux jeunes à travers le monde. Mais, ce qui est encore plus intéressant, ce sont leurs témoignages incroyables comme celui de Saed, un miracle à pied du Moyen-Orient. Voici son histoire comme il l’a raconté à la Congrégation Tiferet Yeshua, de Tel Aviv, en Israël.
J’ai grandi en Palestine, en Cisjordanie. J’y étais lors de la première Intifada et j’ai rejoint le soulèvement palestinien. Je jetais des pierres et des bouteilles, j’ai eu des ennuis avec les soldats de la sécurité israélienne, j’ai été capturé et arrêté de nombreuses fois. J’ai été sévèrement roué de coups, et, par conséquent, j’ai subi sept opérations dans mon corps.
Il y a deux ans, j’ai subi une opération au dos et on m’a dit que je ne serais plus capable de marcher. C’est une longue histoire, mais je tiens à vous dire que Dieu m’a relevé de nouveau et je fais l’impossible ! Je travaille avec l’Équipe Xtreme ! Seulement Yeshua le Messie peut le faire, Messie et Roi de l’Univers !
Je me souviens des histoires que j’avais l’habitude de raconter aux soldats israéliens (en hébreu) : « Je ne jette pas de pierres aux soldats. Je ne suis pas un terroriste. J’aime Israël. » Fiction ! J’ai encore eu des ennuis parce qu’ils m’ont pris en flagrant délit. Ils m’ont vu en train de jeter des pierres.
Je suis né en 1967 et j’ai grandi en voyant les chars et les canons, et les colonies construites juste à côté de ma ville. Quand ma mère me disciplinait, elle disait : « Si vous ne vous comportez pas bien, je vais dire aux Juifs de s’occuper de
vous ! » Ils ont été un véritable élément de peur pour moi. Et, si vous craignez quelque chose, alors vous voulez l’éliminer. C’est tout à fait naturel.
J’avais environ 15 ans quand j’ai commencé à avoir des ennuis. Même avant l’Intifada, j’ai été arrêté par la sécurité pour répondre à de nombreuses questions. Lors de ces interrogatoires, j’ai été battu. Mais, les choses ont énormément empirées ; Plus ils me battaient, plus je les détestais. Si j’avais eu la chance, à cette époque, d’attraper un soldat, je l’aurais tué. J’ai bien essayé, mais, je n’ai jamais réussi, parce que Dieu avait un plan pour ma vie.
Un jour, un soldat m’a regardé dans les yeux et a chargé son fusil. Je lui ai jeté une pierre pour ensuite m’enfuir. Il a tiré trois balles et je n’ai aucune idée comment il a pu me manquer, mais il l’a fait. Ce fut un miracle. Il m’a suivi pendant que je courais. Il y avait un enfant qui me connaissait. Je l’ai attrapé, parce que je ne voulais pas qu’il dise mon nom au soldat. J’ai continué à courir jusqu’à ce que j’arrive à un grand mur que je devais sauter par-dessus. Quand je l’ai fait, je me suis tordu la jambe, mais je savais que je devais continuer à courir, au moins pendant un autre quatre kilomètres.
Cette nuit-là, je me suis endormi dehors, sous des oliviers avec beaucoup de douleurs. Je ne pouvais pas aller à l’hôpital parce qu’ils me prendraient et que je serais à nouveau en difficulté. Alors, je suis allé à un endroit où je savais que j’y trouverais un berger. Je sais que les bergers soignent les animaux, qu’ils soignent les pattes des brebis quand ils se les cassent.
Ainsi, j’ai frappé à sa porte à cinq heures et demie du matin. Il a regardé ma jambe, il a vu qu’elle était enflée et a demandé à sa femme de lui amener un peu d’eau. Il s’est mis à me raconter une histoire afin de distraire mon attention, et il a donné un grand coup à ma jambe pour ramener les os à la bonne place.
A cette époque, j’aurais souhaité avoir été tué ! C’était tellement douloureux ! Le berger a installé deux éclisses sur ma jambe et m’a dit de les garder pendant une couple de
semaines, et surtout, d’éviter les soldats. Evidemment, s’ils me voyaient boiter, ils soupçonneraient que j’ai été impliqué dans une sorte de violence.
Environ six mois plus tard, je n’avais toujours pas dormi à la maison parce que les soldats savaient où j’habitais. Alors, une nuit, j’ai décidé d’aller à la maison de ma tante en pensant que si je me levais tôt, avant sept heures, il serait trop tôt pour que les soldats patrouillent.
J’ai ouvert la porte de la maison de ma tante dans le but de partir, et, ils étaient là, m’attendant avec le sourire ! « Bienvenue chez vous ! Venez avec nous. » Ils m’ont donné le travail d’effacer des graffitis à l’école secondaire locale, où mon père était directeur. Ils ont pris ma carte d’identité et j’ai commencé à effacer les graffitis. Mon père m’a vu et m’a demandé (bien sûr en arabe) ce que je faisais. Je lui ai dit que je devais le faire, mais les soldats ont pensé que j’étais en train de lui donner des instructions pour les jeunes hommes de l’école pour qu’ils leur jettent des pierres. Gros malentendu !
Ils ont chargé leurs armes et sont devenus très nerveux. Ils m’ont appelé, tous les trois. Ils m’ont coincé dans un coin et m’ont battu. Après avoir terminé, je suis allé chez le médecin en crachant du sang et les bras meurtris. Je détestais le peuple juif avec une grande passion. Je sentais que j’avais de bonnes raisons pour les détester.
Un an plus tard, j’étais à environ 10 mètres d’un soldat et j’ai entendu trois balles qui avaient un son différent. Cà résonnait comme si elles avaient frappé quelque chose ; Elles n’avaient pas l’habitude « whizz » dans l’air. Alors, je me suis retourné et j’ai vu mon ami sur le sol. Il est mort instantanément avec les trois balles. Les choses sont devenues encore bien pires et la vengeance devenait douce. J’ai commencé à penser comment je pourrais me venger, mais Dieu a eu pitié de moi et ne m’a pas laissé réussir.
J’ai commencé à penser à la mort
En raison de la mort de mon ami, j’ai commencé à penser à la mort, mais je n’avais aucune réponse. En Cisjordanie, où les femmes ont vu des soldats battre un homme, elles auraient accouru à son secours. Ma tante y était et elle était furieuse, elle voulait me sortir d’entre leurs mains. Mais, quand elle s’est approchée, un des soldats a mis son pistolet sur ma tête et a dit : « Si vous venez plus près, je vais le tuer. »
Les choses sont devenues très calmes, et la question pour moi était, « Quoi ? Qu’arrive-t-il s’il appuie sur la gâchette, ma vie se termine ici. » Je ne savais certainement pas où j’allais. Je savais que si je mourais en tant que martyr, le peuple prierait pour moi, mais qu’adviendrait-il de moi ? Je viens d’une famille arabe chrétienne, mais je n’étais pas un homme religieux et je ne savais rien à propos de Dieu.
Je me souviens que lorsque j’avais environ cinq ou six ans, un missionnaire américain était venu dans ma ville. Il nous a raconté des histoires de la Bible. Deux histoires ont vraiment frappé mon esprit, l’histoire de Job et l’histoire de Joseph. Ils avaient de bonnes raisons d’oublier Dieu. Ce qui m’a étonné c’est qu’ils ont conservé leurs relations avec Dieu en dépit de tout ce qui leur était arrivé.
Ari demande à Saed s’il peut lui laver les pieds. Saed, à son tour, embrasse les pieds d’Ari. Une scène très humiliante.
J’ai quitté pour l’Amérique
Cette introspection m’a fait choisir d’aller en Amérique pour faire des recherches. Ma mère est une citoyenne américaine et j’ai un passeport américain, alors, je suis parti pour l’Amérique aux environs de 23 ans. Trois ans plus tard, je possédais un magasin d’alcool, je dirigeais ma propre entreprise et je vivais ma vie. J’avais tellement de colère en moi que j’ai essayé de trouver la paix dans la drogue, l’alcool, les femmes, même le jeu, pour combler le trou vide en moi, mais rien de tout cela ne m’a aidé.
Le christianisme était pour moi pour les mauviettes, pas pour les gens qui sont vraiment durs. Puis, un jour, trois gars sont entrés dans mon magasin d’alcool. Des gros gars. Je leur ai demandé, « Qu’est-ce que vous faites ici ? » Ils m’ont répondu qu’ils construisaient une église au troisième étage de notre bâtiment. J’ai ri, « Vous ? Eglise ? N’avez-vous rien de mieux à faire dans la vie ? » J’ai pensé que je pourrais leur donner des boissons et des aliments afin de gagner la faveur de Dieu, et de les enlever de sur mon dos.
Un jour, j’ai dit à mon ami au sujet de ces trois gars. Il m’a dit : « Tu sais, ma sœur va à une église arabe à Birmingham ; Allons y faire un tour. » Alors, j’y suis allé, je me suis assis sur un banc, et un pasteur se tenait derrière le pupitre. C’était un arabe et il parle arabe.
Quand il a commencé à parler, il a dit : « Nous devons aimer nos ennemis. Les Juifs sont nos ennemis, mais il faut les aimer aussi. » J’ai regardé mon ami et lui ai dit : « Nous devons mettre une bombe dans cette église ! Ils sont sionistes ! Ce sont des traîtres. Ils ne méritent pas de vivre ! Nous mourons là-bas et il dit que nous devons leur pardonner ? »
J’ai quitté l’église en colère. J’ai monté dans la voiture et j’ai croisé mes jambes pour commencer à me rouler un joint. Mon ami, à côté de moi, m’a dit : « Pose-le ! » Je n’ai pas fait attention à ce qu’il me disait et, tout à coup, nous étions à un check-point, et un agent de police me regardait. J’ai donc caché mon joint avec ma main et le policier m’a demandé, « Où étiez-vous ? » Je l’ai tout de suite regardé en disant: « A l’église. » Il a dit : « OK, allez-y ! » Alors, je me suis dit que ce n’était peut-être pas si mauvais d’être dans une église !
J’ai commencé à entendre parler de certaines réunions à domicile intitulées des études bibliques. Je pourrais y aller dans le but d’interrompre le pasteur lors de ses enseignements. Mais, une nuit, à deux heures du matin, je me suis retrouvé dans mon salon me sentant complètement confus.
J’ai demandé : « Qui êtes-vous ? Êtes-vous un Dieu juif, un Dieu musulman, un Dieu chrétien ou Bouddha ? J’ai besoin de savoir si vous êtes ici, si vous existez. Je ne veux pas me sentir coupable toute ma vie. Quelque chose ne va pas avec moi. »
J’ai allumé la télé et il y avait un homme assis derrière un bureau. L’homme a dit : « Jeune homme … » Il parlait avec un accent du sud, et il a commencé à répondre à toutes les questions que je me posais sur la vie. Lorsque les questions venaient à mon esprit, il y répondait ! J’ai paniqué ! Que se passait-il ? Je ne comprenais pas c’était le Saint-Esprit. Et puis, vers la fin, il a dit : « Si vous êtes un Arabe ou un Mexicain … » Il m’a alors attiré et je savais que c’était un Happening divin, même si je ne savais pas exactement ce qui se passait.
Je n’ai pas mangé pendant trois jours
Il a dit : « Vous avez besoin de Jésus-Christ dans votre vie ! Il est la seule vraie chose ! » J’ai alors donné ma vie à Jésus sur le champ. Pendant trois jours, je n’ai pas pu ni manger ni boire. Je viens de lire la Bible et, dans toutes choses, j’y ai vu Jésus-Christ.
Ma mère et mon père pensaient que j’étais paniqué. Mon père est un homme très honorable, et ce fut un déshonneur pour lui lorsque j’ai quitté notre antique tradition chrétienne pour devenir un chrétien évangélique.
Il était vraiment en colère contre moi, et puis je lui ai dit: « Je ne suis maintenant plus votre fils. Je suis le fils du Dieu Très-Haut. J’ai une mission, je ne sais pas ce que c’est, mais j’ai une mission ! » Alors, j’ai quitté la maison et mon père et ma mère se sont préparés pour retourner dans notre ville natale de Taibe, en Cisjordanie.
J’ai écrit une lettre à mon père et lui ai cité le verset : « Celui qui quitte son père et sa mère, maisons, etc…, à cause de Mon nom, il recevra le centuple. » J’ai aussi écrit : « J’ai effectué une recherche pour la vérité et j’ai trouvé la vérité ! » Je savais que mon père était un homme intelligent et j’étais certain qu’il savait que je recherchais la vérité.
L’Équipe Xtreme, dirigée par Keven Stark qui a organisé 12 équipes différentes
au service de Yeshua à travers le monde.
Avant leur départ, je lui ai donné une Bible avec ma lettre à l’intérieur. Selon son témoignage, quand il était dans l’avion et a ouvert la Bible, il a constaté que la lettre avait été placée dans la page avec les Ecritures identiques que je lui avais donné dans ma lettre. Il savait que ce n’était pas une coïncidence.
Après son retour à Taibe, nous avons continué à parler au téléphone pendant deux ans. Il est ensuite venu me rendre visite aux États-Unis. Un jour dans mon appartement, j’adorais le Seigneur et mon père y était présent. Soudain, il tomba à genoux avec des larmes dans ses yeux. Il leva les mains, il avait alors environ 74 ans, en disant : « Je veux que tu me baptises. Maintenant, je connais la vérité et la vérité me libère. Alléluia ! »
Choqué et furieux
Six mois après mon salut, le Seigneur m’a demandé quelque chose que je n’avais jamais anticipé. Il m’a demandé : « Pardonneras-tu à tes ennemis, le peuple
juif ? » J’ai dit au Seigneur : « Si vous me demandez ceci une fois de plus je ne vous parlerai plus jamais ! »
Pendant six mois, j’ai tourné le dos à Dieu. J’étais tellement en colère. Comment pouvait-il me poser cette question ! Je lui ai dit, « Vous n’avez pas la moindre idée de ce qui m’est arrivé, ces gens ne méritent pas de vivre ! » De mon point de vue, ils étaient arrivés de nombreux pays pour prendre la terre que je croyais appartenir à des Arabes. J’étais très en colère.
Enfin, j’ai dit, « Si vous, mon Dieu, pouvez m’aider à leur pardonner, je le ferai. » Il a parlé quelque chose dans mon cœur qui a changé ma vie. Il a dit, « Il y a une chose que je donne aux gens. Oui, je donne les dons de guérison, la foi, la puissance… mais je vais te donner quelque chose de plus grand que cela. Je vais faire de toi un participant de Ma nature. »
« Afin que tu puisses pardonner, » m’a-t-il dit, « tu dois comprendre que seul un juge peut décider de pardonner et de libérer, ou de conserver. » Puisque seul Dieu peut pardonner, Il m’a dit que si je voulais être un participant dans Sa nature et vivre la vie que je voulais vivre, j’avais réellement besoin de faire ce qu’Il fait ; J’avais besoin de pardonner.
J’ai dit : « Oui, Seigneur. » Il m’a parlé avec les paroles du sixième chapitre d’Isaïe : « Qui enverrai-je ? » Et, j’ai dit : « Me voici, envoie-moi. »
[A ce stade, Saed a demandé aux soldats israéliens présents dans notre congrégation de se manifester.]
Combien de soldats sont présents dans cette salle ? Levez-vous. Les soldats pourraient-ils seulement se lever parce que je veux vous bénir. Y a-t-il des réservistes ? Je tiens à vous bénir parce que c’est un miracle. Je me suis battu pendant de nombreuses années de ma vie afin de voir le peuple juif brisé, mais, par la puissance de l’amour et du pardon, et la puissance de Yeshua le Messie, mon cœur a changé !
Ze’ev, un soldat de la réserve qui vient d’une famille ultra-orthodoxe, demande à Saed de lui pardonner ses fautes envers les Palestiniens pendant son service dans
l’armée.
Je suis un Palestinien et vous êtes Juif. Le monde dit que nous sommes des ennemis mais nous sommes frères ! Des frères et des sœurs en Yeshua. Rien ne peut nous séparer. Le monde ne nous séparera pas, la politique ne nous séparera pas, les murs ne nous sépareront pas. Nous avons une place dans le ciel. Vous et moi, nous nous agenouillerons et adorerons le Messie Yeshua, notre Roi, ensemble ! C’est la seule vraie chose !
Vivant en terre sainte
Mettons-le de cette façon, je n’ai jamais été nerveux dans ma vie. J’ai fait face à la mort et je n’avais pas peur. Mais je suis très nerveux en ce moment. Je sens que je suis debout sur une terre sainte. Plus tôt, j’ai demandé à Dieu, « Que voulez-vous que je fasse ? » Les mots « miracle de l’amour » sont venus à moi, pour vous aimer, frères et sœurs. Je veux, si vous le voulez bien, seulement que vous veniez. Je veux vous embrasser. Venez, s’il vous plaît.
Je prie pour que, parmi les autres soldats, vous soyez un témoignage et chez les Arabes, où que vous soyez, que la puissance du Messie, la puissance de l’amour, soit en vous. Donc, je veux juste prier pour toi en ce moment.
Père, je suis devant vous aujourd’hui ; Je prie, Seigneur, pour que vous bénissiez mes frères et mes sœurs. Que la face du Seigneur resplendisse devant vous tous, que le Seigneur vous donne la paix et la prospérité. Que le Seigneur vous utilise puissamment pour apporter la vérité à son peuple.
Je t’aime ! Je t’aime ! Si vous le pouvez, s’il vous plaît, dites : « Je vous pardonne » parce que je vous ai pardonné et, maintenant, je vous aime.
Gil, le traducteur en hébreu, a déclaré à ce point : « Nous vous pardonnons de tout notre
cœur. »
Puis, Ze’ev, un soldat israélien d’une base ultra-orthodoxe et membre de notre congrégation, s’approcha de SAED et dit : « Je tiens également à demander votre pardon. Avant d’en arriver à la foi, j’étais parmi les soldats qui battaient habituellement les Arabes. Yeshua m’a montré la vérité et, maintenant, j’aime les Arabes et je partage la vérité avec eux. Je veux demander votre pardon, je vous aime
http://www.maozisrael.org/site/News2?abbr=maoz_&page=NewsArticle&id=7932&news_iv_ctrl=-1#1
Traduit par Oscar Blais
Témoignage de espérance, française.
Car auprès de toi est la source de la vie ; par ta lumière nous voyons la lumière. Psaume 36.10
Je suis française, née en région parisienne. Avant d’arriver en Belgique je vivais en France en région parisienne, ma mère était couturière a l’origine et mon père cuisinier, étant très jeune mes parents ont tenu un restaurant, ils n’étaient pas forcément chrétiens pratiquant, mes dés ma seconde année scolaire j’ai eu un cours de religion, et j’ai fais ma première et deuxième communion (a l’avenir on ne m’a pas fait continué). (quoique j’avais déja un intérêt vers Dieu et la prière).
Etant en école communale, mes 3 premières années scolaires ont été une période douloureuse et difficile, je n’étais pas forcément une mauvaise élève mais ayant un grand-mère (paternelle) qui était ma maîtresse, a été redoutable, (étant jalouse de mes parents) elle a tout fait pour me mettre en quarantaine de l’école, je vivais une véritable persécution, que ce soit durant les cours et durant les récréations par mes propres camarades, parfois je n’avais que mes cousins qui venaient me défendre car le plus grand de mes cousins étaient dans deux classes au-dessus.
Pour finir mes notes s’en ressentaient, j’étais toujours mise de côté et bien sûr je me renfermais sur moi-même et n’osais rien dire à mes parents, ma mère a finis par se poser des questions et est donc aller poser des questions au directeur, qui lui aussi ne voulait pas comprendre ou faisait semblant de comprendre, j’ai passé mes deux premières années, et ma mère m’a inscrite en école catholique privé, c’était magnifique Là je vivais tout l’inverse, j’étais l’amie de tout le monde. Mais j’avais garder des lacunes dans ma vie scolaire, a mesure des années, je me suis améliorée.
Dans cette école privé j’ai appris a chanter, et la flûte a bec, on allait souvent avec ma classe jouer et chanter dans les églises catholiques !.(entre temps j’ai subi la séparation et le divorce de mes parents)Plus tard j’ai suivi des études de secrétariat.A l’age de 16 ans j’ai perdu mon père dans un accident de voiture, et là j’ai broyé du noir, je commençais à m’intéresser, a tout sur l’ésotérisme, la voyance, je lisais beaucoup de livres sur le paranormal, j’ai pratiqué le yoga.
Je ne faisais pas le deuil de mon père, j’étais tout le temps triste, je m’enfermais souvent
seule !!.Lorsque j’ai commencé à travailler vers 18 ans, j’ai commencé à sortir me faire des amis, et essayé de rencontrer le grand amour, mais c’était déception sur déception.A cette époque
j’ai commencé a prié avec mon cœur car je croyais en Dieu mais a ma manière, je ne recherchais pas réellement Dieu.Je le voyais tout de même réaliser quelques prières.Moi qui aimait écrire un
jour je décidais de vouloir correspondre avec un belge, je passais une annonce dans un journal de correspondance, et c’est un jeune de 2 ans de plus que moi qui me répondit, nous nous sommes
écris pendant 9 mois et nous avons décidé de nous rencontrer.
Mon correspondant belge (Alain) est venu me voir à Paris, et là après quelques heures passées ensemble, nous sommes tonbés amoureux l’un de l’autre petit a petit……. et au lieu de rester trois
jours il est resté prés de moi une semaine. Aujourd’hui nous sommes mariés depuis 1995. Et je suis venu vivre en 1994 en Belgique, car a l’époque je n’avais plus d’emploi et Alain avait un
travail fixe dans une usine d’automobile.Mais après mon mariage, j’ai commencé une dépression et sans vraiment m’en apercevoir au début, la séparation de mon pays et pas du tout la même
ambiance et confiance que dans ma famille.Début de l’année 2000, j’ai crié et prié vers Dieu, car j’avais entre temps continué la voyance, la cartomancie et toujours mes lectures sur tout le
paranormal.J’étais souvent malade, asthme, bronchite etc….
(je suis asthmatique et allergique depuis l’age de 10 ans)Mon intérêt pour le chant etait important chez moi, alors j’ai pris des cours de chant pendant 3 ans et j’ai rencontré un homme avec
qui je voulais chanté en duo, c’est amitié était très forte, mais voilà, cette amitié c’est transformé autrement que prévu…… et c’est là que tout a basculé je suis tombée amoureuse et j’ai
flirté avec cet homme, mais j’aimais encore mon mari, un beau jour j’ai été poussé de tout raconter à mon mari, et là, c’était terrible cela nous a remis en question tout les deux, (j’avais
deja eu ma première fille en 1996).On es même venu a penser à la séparation, voir le divorce……. J’avais peur.
Mon recours a été d’allumer une bougie et de prier, là j’ai demandé au seigneur de venir à mon
aide,je lui demandais de me sortir de ces problèmes qu’à la fin de la consumation de ma bougie (2jours et demi) qu’il fasse un miracle.Il l’a fait, Alain et moi nous nous sommes réconciliés, il
m’a pardonné et a voulu qu’on aille rencontré un ancien ami ABEL à lui protestant, qui pourra nous guider vers Dieu.(j’ai cessée bien sûr ma relation avec l’homme) ;Ce jour là j’ai eu la
réponse, la solution de tous mes problèmes, c’était écrit dans la bible, tout venait de mes pratiques occultes et mon interêt très penchés sur la voyance, l’occultisme.Je suis allée a une
réunion Aglow Womens à Mons que m’a conseillé la femme d’ABEL, l’ami d’ Alain.
Et ce jour là, du début à la fin je n’ai fais que pleurer, j’y ai rencontré de gentilles femmes, notamment une avec qui je me suis liée d’ amitié qui m’a fait lire la prière de conversion. (le
7 octobre 2000).Après tout ceci j’ai décidé de m’engager avec Dieu, et j’ai brulé tous mes livres et cartes, pendule etc.Dieu a fait un travail immense, il m’a purifié et a détourné de mon cœur
de toutes ces choses.Aujourd’hui je donne tous mon temps de libre à la prière et la lecture de la bible.Je me suis fait baptisée en Avril 2002 !!.
Je suis heureuse de connaître mon Dieu car il a sût arrangé tous nos problèmes, aujourd’hui je suis plus heureuse, et j’ai fais le deuil de mon père terrestre le jour de ma conversion, j’ai été
guérie de la dépression.Mais j’ai conscience que je ne connais pas encore assez Dieu.Et il m’a donné une deuxième petite fille Sophie.Aujourd’hui j’ai deux enfants très mignonnes…. Qui j’espère
deviendrons des femmes de Dieu.Je ne travaille pas, mais je suis tellement contente de m’occuper de mes enfants à la maison, et d’avoir du temps à consacrer pour Dieu.J’ai pas encore fini mon
chemin avec lui, mais je tiens à m’accrocher à lui et le suivre, et j’attends patiemment son retour……………
De l'eau a couler sous les ponts comme on dit, et j'ai fais d'assemblée en assemblée, en passant par la
baptiste, pentecotiste et darbyste.... je n'ai jamais vraiment trouvé ma place ainsi que mon mari, tant de règles et de traditions..et d'erreurs même mon mari, Pendant un temps on a même fait
partit d'une chorale.... !!
Aujourd'hui(2007) nous préférons avoir une intimité chaque jour avec le Seigneur que plutot suivre des religions ou traditions. Et nous sanctifié pour le Jour du Seigneur.
et puis vous savez beaucoup disent :
Hebreux 10:25 "N'abandonnons pas notre assemblée....". Mais Il me semble après recherches que le sens serait plus proche de "Ne cessons pas de nous assembler"
Je cite :
Héb 10-25
"N'abandonnons pas notre assemblée, comme c'est la coutume de quelques-uns; mais exhortons-nous réciproquement, et cela d'autant plus que vous voyez s'approcher le jour.
Il s'agissait là des hébreux qui "naviguaient" entre la synagogue et l'assemblée de Christ et non pas d'abandon des dénominations sectaires d'aujourd'hui dont certains "pasteurs" ou "anciens"
se servent pour tenir captives leurs ouailles ...
"Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui
dévorera les rebelles."
Là encore cette exhortations s'adresse principalement aux hébreux de l'époque apostolique qui retournait à la loi mosaïque après avoir connu la grâce ...
Ce qui n'exclut pas la possibilité pour un croyant de renier sa foi...
QUE DIEU VOUS GARDE
A bientot
Esperance
Bonjour,
Je vous pose le témoignage de ma soeur en Christ, on se connait via internet et nous nous voyons de temps en temps depuis presque 5 ans.
J'ai 52 ans et je suis sans église.
Avant j'étais catholique (non pratiquante comme beaucoup).
Je suis mariée et j'ai trois enfants, mon mari est chrétien. Je leur (aux enfants) ai parlé de notre Seigneur, de tout ce qu'il avait fait pour nous, son sacrifice etc, mais rien n'y fait. J'ai
cru pendant un temps que deux d'entre eux avaient compris, et aujourd'hui je crois que tout est à recommencer.
Je crois que j'ai fait ma part, et j'ai foi que le Seigneur Jesus a "pris le relai". Je prie pour qu'ils n'endurcissent pas plus leur coeur.
J'ai été dans plusieurs assemblées, parfois seule. Mon mari m'a souvent accompagnée.
Il y a toujours eu une bonne raison pour que je parte : division, mensonges, manipulation et la cerise sur le gâteau c'est bien la dernière.
J'ai lu sur le forum de Bradford ce qu'il a écrit sur les paillettes d'or et le genre d'église qu'il avait visité avec son ami. C'est la copie conforme de ma dernière 'église". Mon mari et moi
nous sommes presque fait pieger. Heureusement Dieu nous a délivrés.
J'oubliais que nous avions aussi été dans une église pentecotiste. Mais l'ambiance froide et peu accueillante nous a fait rebrousser chemin.
Conclusion, je pense qu'à notre époque il est très difficile de trouver une assemblée fidèle à la Parole de Dieu. Et ce n'est pas étonnant, notre Sauveur revient bientôt. Tout ce que nous vivons
actuellement est annoncé. En tout cas, dans ma région, c'est pas évident. Même pour les églises protestantes que je considérais comme "normales". Trop de compromis et libéral.
Il y a beaucoup de jeunes séduits par toutes ces églises qui ne parlent que d'expériences, sans parler de la musique!!!
Danser dans l'esprit, peindre dans l'esprit, je mets un petit e parce que je ne pense pas qu'il est question du Saint Esprit. Les bannières etc...
Sans oublier la fameuse "dîme" et les supers offrandes...
Rester sans église est pénible, il faut rester en contact avec d'autres chrétiens. C'est vital!!!
Dieu vous bénisse, ainsi que le forum!!!
Martine
Dieu parle cependant, tantôt d'une manière, Tantôt d'une autre, et l'on n'y prend point garde.
Job: 33,14
Une jeune fille ayant une déficience mentale prêche l'évangile dans un bus.
Une jeune dame s'est mise en vedette le samedi 26 février 2005.
Dans un bus desservant la ligne "Barré/Marché central de Kinshasa",
elle a prêché l'évangile.
Sa prêche a littéralement bouleversé les passagers du bus à qui elle était destinée.
Tout comme elle les a émerveillés.
Ce, parce qu'elle est une malade mentale.
Elle-même n'éprouvait du reste aucune honte à le reconnaître et à le dire tout haut.
Citant sans beaucoup de difficulté les passages bibliques, elle a surpris tout le monde.
Explication donnée
par la prêcheuse : au crépuscule de ce monde, même les malades mentaux prêcheront comme l'ont prédit les Ecritures saintes et que sa prêche est à mettre sur ce compte.
Emerveillés par les prouesses de la dame et la profondeur de ses enseignements, quelques passagers n'ont pas résisté à lui gratifier de beaux billets de banque.
Au jour du salut je t'ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut.
2Corinthiens 6,2
Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant.
2 Timothée 4,2
Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin.
Matthieu 24.14
Et Jésus répondit: Je vous le dis,
s'ils se taisent, les pierres crieront!
Luc 19, 40